Depuis 2017, un salarié peut faire condamner son employeur s’il subit, même indirectement, provocations et blagues obscènes ou vulgaires. Mais les victimes de harcèlement sexuel et sexiste d’ambiance, isolées, ont peu de moyens pour se défendre.
« Des blagues de cul permanentes » : le harcèlement sexuel d’ambiance au travail persiste malgré sa reconnaissance comme délit
Scritto il 11/05/2025